Ce pilier de Dragon Ball vient de démolir Super, et les fans n’osent plus le défendre
- 22 sept., 2025
- Home , Actualités , Animé
L’ancien éditeur légendaire de Dragon Ball a lancé une critique cinglante contre Toyotaro et l’ère Super, déclenchant un séisme dans la communauté. Quand une figure aussi respectée parle, même les fans les plus fidèles écoutent en silence.
L’univers de Dragon Ball tremble une nouvelle fois, mais ce n’est pas à cause d’un nouvel ennemi cosmique. Cette fois, c’est une critique venue de l’intérieur, plus tranchante qu’un Kienzan, qui vient ébranler la légitimité de Dragon Ball Super. Kazuhiko Torishima, éditeur emblématique de l’époque dorée, a fustigé Toyotaro, auteur du manga actuel, avec une sévérité qui ne laisse aucun doute sur sa position.
Une voix historique brise le silence
Kazuhiko Torishima, c’est un nom qui évoque le respect dans tout le milieu du manga. Ce vétéran a accompagné Akira Toriyama dès les premiers coups de crayon de Dragon Ball. Son jugement n’est pas celui d’un critique lambda, mais celui d’un artisan de l’âge d’or. Lorsqu’il affirme que Toyotaro ne comprend pas ce qu’est le manga, c’est une claque qui résonne fort chez les fans. Pour Torishima, le souci dépasse le dessin ou le rythme. Il pointe une incapacité structurelle de Toyotaro à construire une narration digne de ce nom. C’est une attaque directe, frontale, contre les fondations mêmes de Dragon Ball Super, que beaucoup considéraient déjà comme fragile.
Le conflit générationnel devient brutalement visible
Depuis des années, une fracture générationnelle oppose les fans. D’un côté, les nostalgiques de Dragon Ball et DBZ, défenseurs du style Toriyama. De l’autre, ceux qui ont découvert l’univers avec Super, séduits par les graphismes et les nouvelles formes de Goku. Les propos de Torishima renforcent un malaise latent : et si Super n’était qu’un successeur dénaturé, porté uniquement par la renommée de ses prédécesseurs ? L’éditeur historique ne se contente pas de critiquer : il invalide le travail de Toyotaro à sa racine, renforçant les soupçons d’une périlleuse dérive commerciale.
Toyotaro, un relais qui ne passe plus
Toyotaro a longtemps été vu comme le digne héritier de Toriyama. Son style graphique très proche de l’original, sa participation à Dragon Ball Heroes, et son implication dans Super avaient fini par convaincre une partie du public. Mais avec cette déclaration, la confiance se fissure. Si même celui qui a façonné l’ADN de Dragon Ball doute de sa légitimité, alors la série Super est-elle encore légitime ? Torishima remet publiquement en question la pertinence artistique de l’actuel scénariste-dessinateur. Cela va bien au-delà d’un débat de fans : c’est un désaveu officiel, cinglant et assumé.
Une licence qui marche, mais qui vacille
Dragon Ball reste un géant commercial, avec des chiffres colossaux. Jeux vidéo, figurines, films, collaborations : la franchise pèse des centaines de millions d’euros. Pourtant, cette stabilité apparente cache une fatigue narrative. Super propose des combats spectaculaires, des transformations visuellement bluffantes, mais qu’en est-il du fond ? Torishima semble répondre : il n’y en a pas. Si la forme prend le pas sur la substance, la saga risque de devenir un produit vidé de son âme, porté uniquement par la nostalgie et le marketing.
Le verdict d’un mentor, impossible à ignorer
L’opinion de Torishima n’est pas une réaction épidermique. C’est un constat de professionnel, forgé au fil de décennies passées dans l’édition de mangas à succès. Son regard est aiguisé, précis, et son jugement, implacable : Toyotaro ne maîtrise pas les codes fondamentaux du récit. Et ce n’est pas un détail. Car dans le manga japonais, l’équilibre entre action et narration est une science. Une scène d’action ne vaut rien sans tension dramatique. Une transformation ne provoque pas d’émotion sans enjeux narratifs forts. C’est là que Toyotaro échoue selon Torishima.
Le risque de l’effondrement par l’intérieur
Une saga peut survivre à des critiques externes. Mais quand les piliers historiques remettent en cause sa légitimité, l’édifice entier peut vaciller. Les fans qui défendent Super se retrouvent isolés, contraints de reconnaître que les limites qu’ils imputaient à l’époque actuelle sont confirmées par les anciens. Et cela soulève une question vertigineuse : Dragon Ball Super est-il encore digne du nom "Dragon Ball" ? Torishima, sans le dire explicitement, semble penser que non. Ce jugement radical pourrait bien changer à jamais la perception de cette ère moderne.
Ce que l’avenir réserve à la franchise
Dragon Ball va continuer. Il y aura d’autres projets, d’autres spin-offs, d’autres produits dérivés. Mais l’impact de cette déclaration risque de perdurer. Les fans réclameront plus d’exigence, plus d’implication de Toriyama ou d’une nouvelle génération d’auteurs réellement compétents. Un redressement narratif semble indispensable. Sans cela, la franchise pourrait bien sombrer dans un statut de relique commerciale, vidée de sa substance artistique. La parole de Torishima ne doit pas être prise comme une attaque gratuite, mais comme un sursaut d’alerte, lancé par quelqu’un qui aime profondément cet univers.
Tableau – Les déclarations marquantes
| Date de diffusion | Intervenant | Déclaration | Impact |
| Septembre 2025 | Kazuhiko Torishima | "Toyotaro ne comprend pas le manga." | Rupture symbolique avec Dragon Ball Super |
| 2018 | Toyotaro | "Je veux respecter la vision de Toriyama." | Début d’une collaboration controversée |
| 2022 | Toriyama | "Je donne juste quelques idées générales." | Confirme la faible implication personnelle |
| 2023 | Fans sur X | "Le manga Super est trop linéaire." | Débat grandissant sur la narration |
| 2025 | @BorutoRiden | Vidéo virale des propos de Torishima | Amplification médiatique de la crise |


